Éléonore Brieuc est née à Montréal en décembre 1994. Dès le primaire, elle aime l’écriture et les arts. À l’âge de huit ans, elle commence à écrire sérieusement quand un de ses professeurs remarque qu’elle s’ennuie en classe. Ce qui a débuté comme un projet d’école devient bientôt la passion de sa vie.
D’abord inspirée par l’écriture vivante de Dany Laferrière, qu’elle qualifie de «sensorielle», Éléonore essaie de se mettre dans la peau d’un enfant lorsqu’elle écrit parce qu’ils sont, selon elle, «une source infinie de scénarios et d’images extraordinaires».
Cette artiste rebelle étudie ensuite le théâtre, dans le volet interprétation, à l’école secondaire Saint-Louis. Bientôt, elle réalise que le théâtre est aussi une grande partie de sa vie et lie ses deux passions : elle commence à écrire des pièces dramaturgiques. Politisée, Éléonore se révolte contre le système d’éducation au Québec et compose des textes engagés pour performer sur scène à propos de cette cause qui lui tient à cœur.
En 2011, Éléonore participe au Projet 20 ans en 2015, de Wajdi Mouawad. Grâce à ce projet, elle voyage beaucoup et cette période de sa vie est déterminante. En effet, ces voyages l’inspirent et elle crée de plus belle. Cependant, la poète n’aime pas s’en tenir à une seule discipline, ni à suivre des règles préétablies. Comme elle le dit elle-même, «mon écriture est imagée. Elle peut être aussi sombre que colorée. Quand à un style littéraire précis, je ne me limite pas, je joue toujours entre la prose, le théâtre et la poésie». Selon Éléonore, le rituel de création est très important pour n’importe quel artiste. Le sien consiste à écarquiller les yeux, et noter dans un carnet ce qui l’inspire. Puis, elle se relit. Elle croit que la relecture est une partie cruciale de la composition d’un texte.
Après avoir gradué, Éléonore étudie au Cégep du Vieux-Montréal en création littéraire. Elle obtiendra son DEC en mai prochain. Elle pense avoir beaucoup appris du métier qu’elle souhaite exercer et la qualité de son écriture s’en est trouvée améliorée. Tout au long de ses études collégiales, Éléonore a fait partie de la troupe de théâtre de son Cégep, ne perdant jamais de vue sa deuxième passion.
Aujourd’hui, Éléonore termine son DEC et auditionne dans les écoles de théâtre de Montréal. Elle souhaite poursuivre ses études en interprétation, puis ensuite en littérature. Chose certaine, Éléonore Brieuc a un brillant avenir devant elle.
D’abord inspirée par l’écriture vivante de Dany Laferrière, qu’elle qualifie de «sensorielle», Éléonore essaie de se mettre dans la peau d’un enfant lorsqu’elle écrit parce qu’ils sont, selon elle, «une source infinie de scénarios et d’images extraordinaires».
Cette artiste rebelle étudie ensuite le théâtre, dans le volet interprétation, à l’école secondaire Saint-Louis. Bientôt, elle réalise que le théâtre est aussi une grande partie de sa vie et lie ses deux passions : elle commence à écrire des pièces dramaturgiques. Politisée, Éléonore se révolte contre le système d’éducation au Québec et compose des textes engagés pour performer sur scène à propos de cette cause qui lui tient à cœur.
En 2011, Éléonore participe au Projet 20 ans en 2015, de Wajdi Mouawad. Grâce à ce projet, elle voyage beaucoup et cette période de sa vie est déterminante. En effet, ces voyages l’inspirent et elle crée de plus belle. Cependant, la poète n’aime pas s’en tenir à une seule discipline, ni à suivre des règles préétablies. Comme elle le dit elle-même, «mon écriture est imagée. Elle peut être aussi sombre que colorée. Quand à un style littéraire précis, je ne me limite pas, je joue toujours entre la prose, le théâtre et la poésie». Selon Éléonore, le rituel de création est très important pour n’importe quel artiste. Le sien consiste à écarquiller les yeux, et noter dans un carnet ce qui l’inspire. Puis, elle se relit. Elle croit que la relecture est une partie cruciale de la composition d’un texte.
Après avoir gradué, Éléonore étudie au Cégep du Vieux-Montréal en création littéraire. Elle obtiendra son DEC en mai prochain. Elle pense avoir beaucoup appris du métier qu’elle souhaite exercer et la qualité de son écriture s’en est trouvée améliorée. Tout au long de ses études collégiales, Éléonore a fait partie de la troupe de théâtre de son Cégep, ne perdant jamais de vue sa deuxième passion.
Aujourd’hui, Éléonore termine son DEC et auditionne dans les écoles de théâtre de Montréal. Elle souhaite poursuivre ses études en interprétation, puis ensuite en littérature. Chose certaine, Éléonore Brieuc a un brillant avenir devant elle.